Cinq semaines, sept matchs, Landry Chauvin n’a finalement pas fait long feu dans l’immense vaisseau à la dérive qu’est le Club Africain. Arrivé à Tunis pour donner un second souffle au club de Bab-Jedid, alors co-leader mais dévoré de l’intérieur par le désordre et l’impatience, l’ancien entraîneur du Stade Brestois a rendu l’équipe à la fois plus joueuse et plus friable. Plombé par le manque de réalisme et remercié après la défaite à Gafsa, le technicien Français laisse le CA dans son état habituel : en plein psychodrame.
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