Coup de théâtre en Asie : à quelques jours de la finale de l’AFC Champions League, on apprend que celle-ci pourrait être menacée. La faute à une procédure engagée par un demi-finaliste vaincu.
C’est par un tweet signé Abdelaziz Al Mrisel que la nouvelle est tombée : « L'AFC et Persepolis ont reçu de la part du TAS une demande avec délai de réponse de 48 h concernant le report de la finale de la ligue des champions de l'AFC prévue le samedi 19 décembre, après présentation de la part du club d'Al Nasr de nouvelles preuves attestant du fait que le club iranien est en infraction, et de l'inéligibilité de certains de ses joueurs à participer à la compétition ».
عاجل و خاص
— عبدالعزيز المريسل (@ALMRISEUL) December 14, 2020
وصل للاتحاد الاسيوي لكرة القدم و النادي الايراني طلب رد عاجل خلال 48 ساعة من محكمة كاس بخصوص تأجيل المباراة النهائية و المقرر اقامتها يوم السبت 19 ديسمبر بعد تقديم نادي #النصر ادلة جديدة تثبت مخالفة النادي الايراني و عدم أهلية بعض لاعبيه للمشاركة في البطولة
Il apparaît donc que l’AFC et Persepolis se sont vu donné deux jours pour répondre à la demande du TAS de reporter une finale qui doit opposer le club iranien, qualifié il y a deux mois, à Ulsan, qualifié ce week-end. Un rebondissement de plus dans une compétition qui n’en aura pas manqué depuis sa reprise en septembre dernier.