La CONMEBOL avait longtemps annoncé sa confiance en les autorités chilienne pour l’organisation de la finale de la Libertadores. Il semble désormais qu’elle ait l’ombre d’un doute.
C’est par un simple tweet publié ce lundi que la Confédération Sud-américaine de football, la CONMEBOL, a jeté le voile du doute sur la finale unique de la Copa Libertadores à Santiago.
CONMEBOL ha invitado a los presidentes de los clubes finalistas de la @Libertadores, a los presidentes de las asociaciones de Argentina, Brasil y Chile, a una reunión el martes 5 de noviembre, con el objetivo de revisar todos los aspectos de la organización de la Final Única.
— CONMEBOL.com (@CONMEBOL) November 4, 2019
« La CONMEBOL invite les présidents des clubs finalistes de la Libertadores, les présidents des associations d’Argentine, du Brésil et du Chili, à une réunion le mardi 5 novembre avec l’objectif de revoir tous les aspects relatifs à l’organisation de la finale unique ». Un message qui parait anodin mais qui prend un sens bien plus grand au regard des événements qui secouent le Chili.
Un message qui tombe surtout quelques jours après une première menace planant autour de la finale et une conférence de presse donnée par la Ministre des Sports chilienne qui avait rappelé la volonté du Chili d’accueillir la finale, tout en précisant « actuellement, il manque encore beaucoup, mais tout sera résolu ». Des propos qui prennent un autre sens aujourd’hui alors que ce tweet relance toutes les rumeurs. À 19 jours de la grande finale, on se demande de nouveau où elle aura lieu…
