En 2002, après quatre années de blessures terribles, de rechutes et de doutes, Ronaldo revenait au plus haut niveau pour offrir au Brésil une nouvelle Coupe du Monde.
Add a commentEn 2002, après quatre années de blessures terribles, de rechutes et de doutes, Ronaldo revenait au plus haut niveau pour offrir au Brésil une nouvelle Coupe du Monde.
Add a commentTalent pur et précoce du ballon rond, Ronaldo Luis Nazário de Lima a connu une ascension ultra-rapide. Cette éclosion l'a très rapidement amené sur le Vieux Continent. Des Pays-Bas, à l'Italie en passant par l'Espagne, le Brésilien sillonne l'Europe avec des transferts faramineux et médiatisés à la clé. Son parcours fulgurant est néanmoins gâché par de graves blessures mais l'attaquant s'est réinventé, a adapté son style de jeu pour conserver une efficacité remarquable.
Add a commentEn 1997, Ronaldo fête ses vingt-et-un ans et affiche à la fin de l’année un bilan statistique en sélection de vingt-quatre buts en trente-quatre matchs depuis ses débuts en 1994, s’imposant comme l’un des plus grands prodiges du football brésilien.
Add a commentPeu de joueurs ont autant marqué leur époque comme l’a fait Ronaldo Luís Nazário de Lima. Au-delà des titres décrochés dans la plupart de ses clubs, de ses deux Coupes du Monde, de ses deux ballons d’or, des statistiques affolantes et des records qu’il a établis, son surnom O Fenômeno montre à quel point il a été plus qu’une source d’inspiration pour les générations qui lui ont succédé, montre qu’il a surtout changé son sport. Évoquer Ronaldo c’est aussi poser une question : naît-on phénomène ou le devient-on ? Pour y répondre, nous nous sommes rendus au Brésil, entre Rio et Belo Horizonte, pour plonger dans sa jeunesse, revivre ses débuts, aux origines du Fenômeno.
Add a comment« Y ya lo ve, y ya lo ve, es el equipo de José ». Quelques mots, un chant qui n’a jamais cessé de hanter les mémoires des supporters albicelestes du Racing. L’évocation de l’équipe de Juan José Pizzuti, ce n’est pas seulement rappeler l’histoire glorieuse d’un des cinq grands d’Argentine, c’est aussi se souvenir que l’Europe lui doit le football total.
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